Aujourd'hui j'ai vraiment pas le choix, je vais tenter de boucler la musique + l'article + les vidéos et la publication sur les réseaux en 1h.
Ça va être chaud donc tout risque d'être un peu bâclé malheureusement.
Je vais néanmoins faire de mon mieux.
J'ai pensé à ce sujet en faisant mon lit donc voici pour continuer la série "on fait les choses" : Juste faites les choses !!!!
Retrouvez demain en exclusivité "il faut faire les trucs" qui vous expliquera en quoi c'est mieux que de pas faire les machins lol
Plus sérieusement, souvent on a des choses à faire et si on les fait pas, d'autres choses arrivent et tout s'accumule et il devient encore plus compliqué de prioriser c'est qui est important de ce qui ne l'ai pas.
Ce qui finit par nous encombrer l'esprit et créer de la confusion générale dans notre vie. Un peu comme une pièce pas rangée peut créer du brouillard dans nos cerveaux car l'énergie ne peut plus circuler librement.
Il sera nécessaire donc de "vider" sa liste de tâche si ça arrive.
Faites le plus possible dans ce cas de tâches rapides car même si il est vrai que ça nous prend un peu de l'énergie sensée aller vers ce qui est vraiment important, il peut parfois être tout aussi important de pouvoir libérer son esprit afin de pouvoir attaquer ce qu'on a faire plus sereinement.
C'est pas forcément le sujet de cet article tout ça mais c'est intéressant de le savoir lol
Le sujet concernait le fait de repousser ce qui compte vraiment pour nous ou ce qui doit être fait.
Dans les deux cas on se rends compte d'un même phénomène qui est que le plus dur c'est pas de le faire mais de commencer.
Le problème venant soit d'un manque de dopamine étant le neurotransmetteur de la motivation, soit d'un manque d'accès à la dopamine par la tâche, parce qu'on la juge chiante et donc la faire ne nous procurera pas par anticipation cette dopamine qui est également une composante essentielle du circuit de la récompense, qui nous fera nous sentir bien.
Le pire c'est que quand on sait que ce qu'on doit faire est pas motivant, que quand on le fait c'est pas spécialement agréable, paradoxalement, quand on l'a fini on est content et content = dopamine = bien-être.
Quand je parle de ce genre de choses pour beaucoup c'est de l'administratif qui vient en tête mais ça peut être aussi tout ce que vous trouvez chiant.
Il sera important de changer sa vision de la tâche afin de trouver de la joie dans l'accomplissement. Soit transformer ça en jeu (oui c'est possible lol), soit se lancer un défi, une contrainte horaire ou alors simplement le faire machinalement en gardant la finalité en tête, le sentiment du devoir accompli ou la libération d'une partie de notre esprit.
Il suffit de faire preuve de créativité, comme les enfants.
Pour un adulte, on peut dépenser de l'argent pour que l'enfant joue avec des beaux jouets tout ça pour se rendre compte qu'il s'amuse avec la télécommande de la télé et un rouleau de PQ.
La seule différence est le formatage ou non par la société. On finit par être blasés, tout prendre pour acquis, vivre pour les problèmes et bien entendu finir en dépression (ou une variable), logiquement.
Au final c'était toujours pas le sujet principal de l'article qui va finir, bâclé en deux lignes lol
Le sujet principal était sur le fait de faire ce qui peut nous faire avancer vraiment dans notre vie.
Ce qu'on repousse alors que c'est le plus important.
C'est justement parce qu'on le met au dessus de tout qu'on le repousse.
On y mets beaucoup d'espoir que ça nous sauve de cette vie médiocre, que ça soit notre salut et donc on repousse.
Il y a aussi la peur de l'inconnu, c'est toujours flippant de faire des trucs dont on a pas l'habitude et qui nous sortent de notre zone de confort.
Il y a la peur de l'échec qui viendrait briser nos rêves mais aussi la peur de la réussite, moins connue qui fait qu'on imagine pas comment on pourrait s'en sortir si on réussit et donc on se maintient inconsciemment dans l'état d'échec (ou actuel) dans lequel on est déjà confortable.
Enfin il y a le fait de se comparer constamment. Évidemment je l'ai déjà dit mais pour avoir une base valable il faudrait non pas se comparer à la méga star absolue admirée de tous mais aux débutants qui galèrent comme nous on galère.
C'est d'ailleurs une des raisons du fait que j'expose mes musiques plus que moyenne dès fois que quelqu'un tomberai dessus et que ça lui donnerait du courage de se lancer, n'ayant que des "superproductions" incroyables comme modèles.
Le problème est qu'il faut les trouver, le monde exposant seulement les champions qui sont déjà sortis de ce cycle infernal.
Si on a besoin d'une alternative et qu'on a pas trouvé de loser comme nous, on pourra se tourner vers des stars déchues.
En effet, le monde (surtout aujourd'hui) aimant faire monter des gens super rapidement, c'est également un plaisir médiatique de les refaire descendre aussi rapidement et de se nourrir de leur échec en les enfonçant.
Les sportifs sont des bons models car leurs échecs et leurs réussites sont plus visibles et donc plus accessibles que par exemple une entreprise qui a divisé sa valeur en bourse par deux par exemple.
En France, actuellement, on a des gens comme Cyril Gane, emblème du prodige que tout le monde aime jusqu'à ce qu'il perde lamentablement et que tout le monde se retourne contre lui.
Conor McGregor aux États-Unis étant également un bon exemple.
On a des gens qu'on a monté rapidement et que tout le monde attend qu'ils perdent comme Cédric Doumbé par exemple.
On a niveau football, des gens comme Neymar qu'on a monté haut pour après le descendre que ce soit par le sportif ou les polémiques.
On a aussi des rappeurs que tout le monde encense et qui après un premier album sont jetés comme des merdes et après on fait des vidéos parce que tout le monde se demande ce qu'ils sont devenus.
Dans la mode, on a des Léna Situations qui montrent à quel point on peut aimer descendre gratuitement quelqu'un pour pas grand chose.
Y a plein d'exemple dans plein de domaine mais le principal étant de se dire qu'on peut se motiver en prenant exemple sur leur réussite mais pour d'autres, ayant l'impression que c'est trop loin pour eux, on peut prendre exemple de leur échec en observant comment ils rebondissent pour aller plus loin, le monde saluant également les perdant qui se relèvent.
Tout ça pour dire et c'est la fin de cet article : peu importe ce que vous avez à faire, juste commencez et le reste viendra tout seul.
Gardez à l'esprit que ça sera nul comme à peu près tous les gens qui commencent mais que la seule différence entre vous et eux (quand c'est pas des prodiges bénis des Dieux), c'est qu'ils n'ont pas laissé la nullité les définir en acceptant la fausse croyance que ça sera toujours comme ça.
Autrement tout le monde marcherait à quatre pattes parce que tous les bébés, au bout de trois échecs, auraient abandonné l'idée en pensant que marcher c'est pas quelque chose pour eux, vaudrait mieux ramper sur le sol comme un serpent.
Fin.
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